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Il n’est pas fréquent que des cinéastes débutants choisissent un film de genre comme premier film. L’Anglais Thomas Hardiman a tout de même osé le faire et a livré une première œuvre assez spectaculaire l’année dernière avec Medusa Deluxe.
Le casting se compose principalement de « personnages secondaires » bien connus qui peuvent enfin se plonger dans un film solide avec beaucoup d’action et de drame.
L’intrigue
Une communauté dont la fixation sur les cheveux frise l’obsession est divisée par la méfiance lorsque l’un d’entre eux est tué. Au cours d’une nuit, nous faisons la connaissance d’une riche diversité de personnages colorés et excentriques.
La paranoïa règne lorsqu’un meurtre est commis lors d’un concours de coiffure local. Dans un brouillard de laque et au milieu des sculptures capillaires les plus folles, la troupe animée de coiffeurs combatifs, de mannequins et de juges s’accusent mutuellement non seulement de meurtre mais aussi de mauvais goût.
Un plaisir pour les yeux
Dans la bande-annonce, ce qui ressort le plus, c’est l’époustouflant travail de caméra du directeur de la photographie Robbie Ryan (Poor Things, The Favourite), qui fait flotter sa caméra dans le labyrinthe de la salle de spectacle, parmi les nombreux miroirs, les teintes vives et les coiffures extravagantes ; un premier film très intéressant de la part du jeune Britannique.
Medusa Deluxe sera visible dans un cinéma près de chez vous à partir du 12 octobre.
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