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Jaboukie Young-White partage « Goner » et annonce son premier album

jaboukie Jeune-Blanc a annoncé son premier album, Tous ceux qui ne peuvent pas entendre doivent ressentir, prévu le 21 juillet via Interscope Records. Parallèlement à l’annonce, il a partagé « GONER », le troisième single présenté sur sa première offre.

Le morceau est, selon le communiqué de presse, «… conçu pour vous faire danser… le morceau flirty est un hymne estival queer annonçant la joie de la débauche sexuellement ambiguë. Dans le vrai style jaboukie, il y a une légèreté et une impertinence dans la chanson, qui a été mixée par l’ingénieur de mixage lauréat d’un Grammy Alex Tumay (Young Thug, 21 Savage, Metro Boomin, Childish Gambino, Travis Scott); masterisé par Joe LaPorta, ingénieur en chef lauréat d’un Grammy, de Sterling Sound (fka twigs, Rex Orange County, Shawn Mendes, Future, Kid Cudi); et conçu en studio par Alex Poeppel de Kensaltown East.

L’énergie contagieuse de « GONER » reflète l’esprit du premier single de jaboukie « BBC » (raccourci pour « bad b___h c_____e »), qu’il a sorti l’automne dernier. « L’hymne de la salope d’automne » (THEM.) a reçu des critiques positives lors de sa sortie avec le L’heure de Los Angeles disant que la piste « vraiment claque », tandis que PAPIER l’a décrit comme ayant « le grain improvisé d’un freestyle enregistré dans une chambre chaude », ajoutant « jaboukie s’est avéré être un maître de tous les métiers qu’il entreprend, de l’écriture au jeu d’acteur en passant par le service c_____e. » PÂTE a qualifié le single de « banger électro-rap excité comme l’enfer », tandis que Le FADER a dit que c’était « sérieusement amusant » et « une extension de la personnalité ludique et repoussant les limites de (jaboukie). »

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jaboukie a suivi « BBC » avec « ROCKWHYLER ». Accompagné d’un clip vidéo en panne, l’instrumental fusionne des extraits sonores de diverses sources, notamment des freins de train locaux et des conversations familiales en Jamaïque, ainsi qu’un effet distinctif de chien hargneux à la basse.

La nature grinçante de la chanson est destinée à défier l’hypermasculinité du hip-hop, du dancehall et du punk rock. La chanson combine des répétitions grossières avec les paroles typiquement narratives de jaboukie, incarnant un personnage avec lequel il s’identifie et a du mal à se connecter.